Dans Ophélie, on navigue au sein d’un réseau de cheveux et de poussières entremêlés, dans un espace aérien ou liquide, un lieu imaginaire sans dimensions. Les restes de notre corps, les débris que notre peau produit, nous remémorent le temps de la vie qui se déroule. Le mythe des Parques et notamment d’Atropos qui coupe les fils des vies humaines a également sous-tendu la céation de cette vidéo.
2007/ vidéo / 3′ / son