« Oiseau de ces montagnes, qui avec ces accents suaves, si sonores, es la douce confusion du vent ; si, entre l’oreille et la lèvre, tu m’as vu hésitant, absorbé, suspendu, parce que je ne sais pas lequel est mon affect le plus puissant, puisqu’à entendre le cristal qui m’appelait assoiffé, assoiffé aussi m’appelle l’air que je recommence à boire, comment d’une soif à l’autre l’affect a-t-il changé tellement, qu’au lieu que mes lèvres et mes oreilles boivent de l’eau et de l’air, il s’est passé que mes yeux boivent du feu, et un feu si empoisonné que (…) »
Comedia Eco y Narciso, Calderón